Tout commençait bien, par une superbe randonnée à vélo, sur les petites routes Irlandaises.
Je découvre même un coin ou j'irai probablement quand j'en aurais mare.

J'étais sur un petit chemin sympa, enfin seulement jusqu'au bout du chemin c'est-à-dire une ferme. Aussi stupide que je suis-je décide de faire le tour de la ferme pour voir si le chemin ne continue pas derrière. Malheureusement je n’avais pas vue la 15n de vaches qui commençaient à m’encercler. Bien effrayer sans savoir si ces vaches étaient hostiles ou non. J’arrive à traverser ce champ.

Pour terminer le tour de la ferme il fallait passer 2 barrières électriques espacé d'un mètre. Bien entendu l’herbe entre les barrières était juste de la « tourbière » remplie d’eau. Je galère à passer mon vélo car je n'étais pas stable, pendant se temps 5 chevaux fond leur approche de l'autre coté.

Mon vélo se coince dans la barrière et me donne quelques châtaignes au passage. Je n'arrive pas à le décoincer.

La situation est maintenant complexe, à gauche un troupeau de vaches affamées et  droite des chevaux assoiffés et tous réagissent brutalement à mes moindres gestes.

J’essaye de décoincer mon vélo sans faire de gestes brusques. Mais la tache est difficile car je ne peux pas saisir mon vélo par les parties métalliques et même quand je ne le touche pas je prends des coups de jus. Je ne comprends rien à ce qui m’arrive, je fais pourtant bien gaffe de ne rien touché d'électrifier. J’ai mis 5/6 châtaignes avant de voire qu’il y avait un câble enfoui sous l’eau juste sous mon pied (l’enfoiré).

Enfin, les nerfs a vif, j’arrive à passer du coté des chevaux qui ne semble pas être hostile mais juste très câlins. ^^ 

Je continue ma route, enfin mon champs vue que le chemin ne continuais pas après la ferme.

Puis j’aperçois au loin une route : « C’est bon me dis-je, y a qu'à couper à travers champs, ce n’est pas la peine de faire demi-tour. Y a que quelques champs. »

HaHa !!
Foutaise. Ils n’ont pas les champs que chez nous. Ici, ils sont plus hostiles, gorgés d’eau et séparés par de grandes haies de truc qui pique et des canaux profonds, traversables que par certaine rare percée.

4 haies plus tard, content de voir que la route est toute proche. Je dévale le champsa tt allure sur mon biclou.

Quelle ne fut pas ma stupeur en voyant, au pied du champ, une énorme rivière, infranchissable à vélo. Tous ces efforts et ces égratignures inutiles. Je remonte la rivière sur 300 mètres et 2 haies, sans trouver la moindre passerelle. Les maisons sont pourtant toute proches, mais de l’autre coté.

Ca y est après tant d'efforts, je suis prisonnier de la nature.

Mais enfin, délivrance une ferme avec un portail, derrière une haie bien entendue.

Après une bonne heure et demie de galère dans un labyrinthe de champs accessible qu'en tracteurs. J'arrive à atteindre la route. Qui était environ a 2 kilomètres de la où j’habite. ^^

Moralité :
En Irlande c'est comme en montagne, c'est pas la ligne droite la plus
courte. Ou alors couper à travers champs n’est pas une expression locale.